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Title: Impact de l'inoculation de microbionte PGPR isolé de la rhizosphère de plantes steppiques et mise en évidence de leur intérêt agricole dans la culture de Tomate (Solanum lycopersicum L.)
Authors: Fradj, Fadhila
Louibda, Hanane
Keywords: PGPR, Rhizobactéries, Stress salin, Tomate, Proline, Glycine bétaïne, Phytostimulation, Microbiote racinaire, Biofertilisation.
Issue Date: 2019
Publisher: université ibn khaldoun-tiaret
Abstract: Les écosystèmes extrêmes peuvent être une source de micro-organismes inexploités capables de produire de nouveaux composés bioactifs d’intérêt agricole. En conséquence, notre recherche s'inscrit dans cette thématique et propose l’isolement de bactéries d’intérêt agricole à partir de la rhizosphère de plantes spontanées provenant des écosystèmes extrêmes. Les rhizobactéries seront caractérisés phénotypiquement, biochimiquement en premier lieu, puis soumises à une série de tests in vitro et in situ pour sélectionner les isolats les plus actifs impliquées dans l’amélioration de la tolérance au stress salin appliqué à trois concentrations 100, 200 et 300 mM. Les résultats du test de préidentification des rhizobactéries nous ont permet d’estimer que ces microbiote racinaire appartiennent à trois familles de bactérie, Staphylococcus, Bacillus et Pseudomonas. La réponse des plantules de tomate au stress salin est variable en fonction de l’intensité du stress et inoculations. En effet, la plupart des graines étudiées sont fortement affectées et leurs taux de germination comparativement aux témoins respectifs ne dépassent pas les 60 %. Cependant, les graines inoculées montrent une plus grande tolérance au sel et particulièrement les graines bactérisées avec les souches (SR), (SB). En ce qui concerne le comportement morpho-physiologique et biochimique, les résultats montrent que la plupart des plantules subissent une diminution de leur teneur de chlorophylle totale, et une augmentation de la teneur en acides aminées (proline, glycine bétaïne) à l’exception des graines inoculées avec les souches de la rhizosphère de l’Alfa qui ont pu maintenir des teneurs légèrement proches aux témoins. Les bactéries utilisées représenteraient ainsi un partenaire valable dans l’agriculture biologique par ses propriétés biostimulantes et bioprotectrices.
URI: http://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/3858
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