Le trèfle blanc (trifolium repens), comme indicateur de phytotoxicité de l’ozone troposphérique . Conséquences pour les niveaux critiques à moyenne terme.

Abstract

Cette expérience en bio surveillance de l’ozone a montré sans conteste que l’ozone ambiant peut provoquer aussi bien des lésions visibles que des réductions de la biomasse chez les espèces culturales sensibles (6,60%) pour le taux de nécrose%. Ces types de dommages peuvent classer notre zone d’étude en classe trois (03) fondée sur l’indice des PMN avec un pourcentage égale à (27.26%) étaient largement répandus ont été observés la plupart des années. Les niveaux critiques d’ozone pour la réduction de la biomasse pouvaient être établis par référence à une AOT40 de 0.45 ppm /jour. Les premières tentatives d’appliquer la fonction de réponse selon l’approche AOT40 à une évaluation des risques pour notre zone d’étude a indiqué que des réductions de la conductance stomatique qui pouvant atteindre (5.90 mmol m-2s-1). Les plans du trèfle blanc exposés à des dommages dus à l’ozone dans notre zone d’étude nombreuses incertitudes et l’on continue d’affiner les méthodes de suivi pour évaluer un modèle de l’impact de l’ozone sur les plantes cultivés. À l’heure actuelle, les méthodes fondées sur les flux part de la modélisation des flux d’ozone dans des feuilles prises individuellement, mais on s’efforce de construire un modèle du flux d’ozone dans le couvert végétal pour le trèfle blanc qui tiendra compte de l’augmentation du flux total à mesure que le couvert se développe, et qui servira à établir un niveau critique fondé sur le flux dans l’ensemble du couvert végétal.