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Titre: Suivi Echographique de la Dynamique Folliculaire chez la Vache Laitière Suite à Différents Traitements de Synchronisation des chaleurs Dans la région de Tiaret
Auteur(s): meliani, samia
Mots-clés: Folliculaire, vaches, Prime Holstein, chaleurs.
Date de publication: 2014
Editeur: Université Ibn Khaldoun -Tiaret-
Résumé: Notre étude a porté sur un effectif de 92 vaches de race pie noire « Prime Holstein », dans le cadre du suivi des ovulations, suite à différents protocoles de synchronisation des chaleurs ; Ces protocoles sont parmi les plus utilisés en Algérie, à savoir le CRESTAR, le PRID et la PGF2, en vue d’expérimenter leur efficacité dans les conditions d’élevage de notre pays. Les vaches ayant fait partie de cette étude se trouvaient au début de l’expérimentation entre le 60 et le 120 jours du post-partum, avec une note d’état corporel comprise entre 2 et 3,5. Les diamètres d’ovulations moyens observés durant cette étude n’ont présenté aucune différence significative entre les traitements ; cependant, les ovulations ont commencé à apparaître, en général, à partir d’un diamètre de 15mm. Néanmoins, nous avons remarqué qu’il existe des différences parfois importantes entre les traitements de synchronisation des chaleurs. Cette différence a surtout été très marquée lors de l’utilisation des progestagènes, et en particulier avec le PRID, qui a permis d’obtenir les meilleurs taux de chaleurs avec 72,73% et 87,5% ; et des taux d’ovulations les plus élevés, à savoir 81,82% et 75%, et ce, 96h après la fin des traitements. Cependant, nous avons obtenu les taux de chaleurs les plus bas avec les prostaglandines (20 et 25%), avec des rétentions de corps jaunes qui n’ont commencé à disparaître qu’à partir de 72h après la deuxième injection. Les résultats obtenus avec le CRESTAR étaient intermédiaires entre les deux précédents avec 66,67% ; 40% et 42,86% d’animaux manifestant des chaleurs, et des taux d’ovulations de 77,78% ; 80% et 57,14%. Il est à signaler qu’un certain nombre d’animaux ovulent sans expression des chaleurs, et avec des taux variables ; le taux le plus élevé a été observé avec la PGF2 (60% et 75%), mais il a été moyen avec le CRESTAR avec 22,22% ; 40% et 14,29%. Les taux les plus bas ont été enregistrés avec le PRID, à savoir 9,09% et 0%.
URI/URL: http://dspace.univ-tiaret.dz:8080/jspui/handle/123456789/876
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