Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/866
Titre: ÉTUDE CLINIQUE ET THÉRAPEUTIQUE SUR LES RETENTIONS PLACENTAIRES CHEZ LA VACHE LAITIÈRE AU NIVEAU DE LA RÉGION DE SÉTIF.
Auteur(s): KHACEF, MOHAMED MOHSEN
Mots-clés: vache laitière, Sétif, rétention placentaire, enquête, traitement, incidence, facteurs de risque.
Date de publication: 2017
Editeur: Université Ibn Khaldoun -Tiaret-
Résumé: Le but de cette étude était de mètre la lumière sur le problème de la rétention placentaire chez la vache laitière au niveau de la région de Sétif. L’incidence moyenne et les effets de facteurs de risque sur la fréquence des rétentions placentaire (RP) ont été étudiés sur 259 vêlages. Les femelles de race (Prim’Holstein, red’holstein, Montbéliarde, Brune des Alpes et la normande ou de vache issues de croisement de la descendance de ces dernier) appartenaient à 14 élevages situent dans la région de Sétif enquêtés pendant une année. L’incidence moyenne des RP était de 16.22%. Les cas des naissances gémellaires, les vêlages estivaux, les dystocies, la mortinatalité, une période sèche trop brève et une gestation écourtée ou trop longue ont favorisé significativement l’apparition des RP. Une enquête a été menée sur les pratiques thérapeutiques employées par les vétérinaires pour traiter cette affection. Le questionnaire comprenait 13 questions. Les resultats montrent que La délivrance manuelle est pratiquée plus ou moins fréquemment par 78% des vétérinaires sondés. La peur des infections, mais aussi la demande des éleveurs ont un rôle important dans la décision de délivrer. Par contre les professionnels ne délivrant jamais (22 %) ont peur de la brucellose et ils ne sont pas trop influencés par la demande des éleveurs. En ce qui concerne les protocoles thérapeutiques, tous les vétérinaires interrogés utilisent majoritairement des antibiotiques par voie parentéral et/ou intra‐utérine. En complément ou remplacement, les vétérinaires utilisent des traitements Hormonales : prostaglandine F2‐alpha (70%) et ocytocine (27 ,5%). Alors que les AINS sont très peut utilisés par les vétérinaire. Dans un troisième temps, nous avons étudié le traitement de cette affection à l’aide des différents protocoles thérapeutiques les plus utilisé par les vétérinaires de la région. Après L’analyse des donnés, il s’est avéré que l’efficacité des différentes méthodes de traitement utilisés par les professionnelles pour traité la non délivrance chez la vache, ne sont pas plus efficace que le faite de laisser les vaches sans traitement, si c’est dernières ne présentent pas une hyperthermie lors de la première visite. Par contre leur utilisation provoquait dans certains cas des effets néfastes sur les performances de reproduction des vaches traitées. En plus, l’utilisation de la PGF2α n’améliore les performances de la reproduction des vaches à problème que dans le cas ou la délivrance a été pratiquée manuellement.
URI/URL: http://dspace.univ-tiaret.dz:8080/jspui/handle/123456789/866
Collection(s) :Magister

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
MAGISTER VETERINAIRE KHACEF MOHAMED MOHSEN.2017.pdf8,24 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.