Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/5803
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dc.contributor.authorJMAFOU, Radhia-
dc.contributor.authorSLIMANI, Hakima-
dc.date.accessioned2022-11-28T09:18:04Z-
dc.date.available2022-11-28T09:18:04Z-
dc.date.issued2015-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/5803-
dc.description.abstractLa prise de conscience du mauvais état sanitaire des sols conduit évidemment à la question de savoir quels sont les risques, pour la santé publique et pour les écosystèmes, dans chaque situation de pollution. D’une façon générale, la notion de risque inhérent à un polluant quelconque est intimement liée à sa possibilité de transfert vers l’organisme cible. Concernant les métaux lourds, leurs effets sur les écosystèmes locaux et les mécanismes de leur transfert, du sol aux organismes vivants (notamment les invertébrés), sont encore mal compris. Il est donc très difficile de prévoir leurs effets à long terme, de modéliser le devenir des polluants d’un site contaminé, d’en évaluer les risques et donc de choisir une stratégie de remédiation. Depuis quelques années, les biotechnologies ont montré que l’utilisation des invertébrés peut constituer une solution supplémentaire par rapport aux techniques classiques. Bioremédiation mise en oeuvre intentionnelle par l'homme d'un processus biologiques pour la décontamination des sols pollués par des métaux lourds. Cependant l’accumulation des métaux lourds, par vers de terres, est influencée par leurs biodisponibilités dans la solution du sol. Les vers de terres sont plus sensibles aux teneurs en métaux lourds que les autres invertébrés dans le sol, et leur capacité à accumulation souvent plus élevée que pour d’autres espèces animales. L’augmentation de la teneur en métaux lourds au-delà d’un certain seuil réduit la densité des vers et influe négativement sur leur croissance pondérale, leur développement sexuel et la production de cocons. Les risques associés aux sols pollués sont en effet étroitement liés à la biodisponibilité des éléments métalliques. Une fois absorbés, ils peuvent retourner dans le sol (cycle biogéochimique), s'il n'y a pas d'exportations. Pour répondre à ces objectifs, la démarche adoptée dans le cadre de ce travail, a consisté d’étudier la possibilité d’utiliser des vers de terres pour décontaminer un sol, localisant à proximité des routes à fortes pression de trafic routier, pollué par le zinc et le cuivre d’origine routière Le protocole expérimental consiste à déterminer les concentrations de ces métaux, dans 22 échantillons du sol et 22 échantillons des vers de terres (10g). Les résultats trouvés montrent les horizons de surface, des sols routiers, sont fortement contaminés par le zinc (638,50 ± 213,51ppm) qui dépasse les normes internationales et par le cuivre (31,68 ± 25,50 ppm).en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherFaculté des Sciences de la Nature et de la Vieen_US
dc.subjectDépollutionen_US
dc.subjectsols contaminésen_US
dc.subjectmétaux lourdsen_US
dc.subjectZinc et Cuivreen_US
dc.titleDépollution des sols contaminés par les métaux lourds (Zinc et Cuivre) à l’aide des invertébrés (vers de terres)en_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Master

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