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Titre: Cancer gastrique et colorectal à Tiaret Alimentation et mode de vie
Auteur(s): El Hachemi, Houda Ilhem
Rahou, Sarra
Mots-clés: Cancer digestif, cancer gastrique, cancer colorectal, Tiaret, prévalence, cas témoins, facteurs alimentaires, facteurs de risque.
Date de publication: 2020
Editeur: université ibn khaldoun-tiaret
Résumé: Le cancer digestif est parmi les premiers types des cancers en Algérie, en nombre élevé chez les hommes en dépassant 60%. Il existe une variabilité de prévalence entre lesrégions du pays ; nous avons cibler dans notre étude la Wilaya de Tiaret qui n’échappe pas à ceproblème avec une prévalence de 405 cas déclarés au niveau du service chimiothérapie pendantles cinqdernières années ou le cancer gastrique représente 37.7% et le cancer colorectal un taux de62.3%. Nous avons essayé d’analyser ce problème de santé publique à Tiaret en matière deprévalence prise en charge et des facteurs associés. L’étude a concerné les deux types decancer précédemment cités; prenant en considération plusieurs paramètres (âge, sexe, IMC,traitement, chirurgie etc.), plus une étude cas témoins afin d’étudier plusieurs facteursalimentaires (consommation de viande, plats sucrés et salés, fritures, aliments gras, congeléset les conserves), et d’autre facteurs de risque tel que le tabagisme, hérédité et le stress ainsi que leniveau socioéconomique. Après l’étude épidémiologique, nous constatons que plusieurs facteurs participent à l’augmentation de cette maladie, tel que la consommation quotidienne de la viande blanchesurtout le poulet avec un taux alarmant de 89% ainsi que les plats sucrés et le sucre industrielraffiné généralement ; ou son utilisation dépasse 60% des plats consommés par jour. Sansoublier le tabagisme qui est fréquent chez le sexe masculin avec un pourcentage de 40% sur 18cas témoins, et aussi la consommation des eaux non traités dont 50% de la population d’étudeconsomment l’eau de robinet et 44.5% de l’eau des puits non analysés. D’autre part, plusieursfacteurs de risque sont important dans notre étude, tel que le facteur héréditaire qui présente44.5%, ainsi que les traitements de chimiothérapie et radiothérapie qui détruisent lescellules vivantes chez les patients en représentant plus de 60% du traitement courant. En fin, nous remarquons que nos témoins souvent appartiennent à un niveau socioéconomique basavec une moyenne de 83%. En dernier, nousconseillons toute personne atteinte ou qui veux prévenir cettemaladie d’équilibrer son alimentation, de consommer beaucoup defruits et de légumes, d’éviter le tabac et de pratique sport, de consommer les eaux debonnes sources et finalement de garder leurs espoirs et leurs énergies positives.
URI/URL: http://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/4826
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