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Titre: LA MALADIE DE NEWCASTLE ETAT DES LIEUX ET PROCEDURES DE CONTROLE Etude bibliographique
Auteur(s): Missoum, Yacine
Mots-clés: Maladie de Newcastle, virus, vaccination, poulet.
Date de publication: 2014
Editeur: université ibn khaldoun-tiaret
Résumé: La maladie de Newcastle (Newcastle Disease, ND), ou pseudo-peste aviaire, est une maladie virale hautement contagieuse qui peut affecter un grand nombre d’espèces aviaires et causer de sévères pertes économiques dans de nombreux pays. L’agent responsable est appelé virus de la maladie de Newcastle (Newcastle Disease Virus, NDV) ou paramyxovirus aviaire de type-I (Avian paramyxovirus type 1, APMV-I). Les premiers cas de la maladie de Newcastle ont été décrits en 1926 à Java, en Indonésie (Kraneveld, 1926) et à Newcastle-upon-Tyne, en Angleterre (Doyle, 1927). L’impact économique de la maladie de Newcastle est énorme et ne doit pas uniquement être mesuré en termes de pertes commerciales directes (mortalités). Dans les pays développés indemnes de la maladie, les mesures de contrôle, telles que la vaccination, et les tests répétés afin de maintenir leur statut indemne représentent une perte énorme pour l’industrie avicole. Dans les pays en voie de développement où les oeufs et la viande de volaille constituent la principale source de protéines alimentaires, de la maladie de Newcastle, de par sa circulation endémique, représente un frein au développement de la production avicole. En termes de santé publique, parallèlement à sa contribution à la malnutrition, la maladie de Newcastle est considérée comme une anthropozoonose mineure. La transmission à l’homme est anecdotique et se traduit par une infection oculaire, telle qu’une conjonctivite, des paupières oedémateuses et des larmoiements. Des maux de tête et de la fièvre sont parfois observés, accompagnés ou non de conjonctivite (Capua et al., 2004). L’objectif des différentes stratégies de prévention de la maladie de Newcastle est de prévenir l’apparition ou de limiter les conséquences cliniques et économiques de la maladie, en évitant le contact par des mesures de biosécurité et/ou en renforçant la résistance à l’infection des oiseaux sensibles par la vaccination. À l’heure actuelle, les vaccins commerciaux les plus fréquemment utilisés sont des souches virales atténuées (vaccins « vivants ») de virulence nulle (souches apathogène), faible (lentogènes) ou modérée (mésogènes). Des vaccins inertes sont également employés.
URI/URL: http://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/4796
Collection(s) :Docteur Vétérinaire

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