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http://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/455
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Élément Dublin Core | Valeur | Langue |
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dc.contributor.author | OUARED Khaled | - |
dc.date.accessioned | 2021-11-28T13:22:50Z | - |
dc.date.available | 2021-11-28T13:22:50Z | - |
dc.date.issued | 2016 | - |
dc.identifier.uri | http://dspace.univ-tiaret.dz:8080/jspui/handle/123456789/455 | - |
dc.description.abstract | La boiterie chez les vaches laitières est une maladie à étiologie multifactorielle et représente l'un des trois problèmes majeurs de santé après la mammite et l'infertilité. Cette étude a porté sur l’impact des boiteries sur la production laitière et la fertilité. Nos données ont été récoltées sur une période débutant en 2009, et ont porté sur 488 vaches reparties sur cinq fermes de la région de Tiaret. La prévalence totale des boiteries était de 12,7% dans le troupeau, mais chez les vaches laitières, elle était de 27,97%. Même traitée, la pathologie persiste avec 3,86% et 8,56% dans les troupeaux et chez les vaches laitières, respectivement. Chez les vaches avec boiterie clinique, la production laitière a été réduite jusqu'à 32,34%, avant que la boiterie ne soit traitée, et de 4,47% après traitement. Cependant, chez les vaches présentant une boiterie chronique, la réduction était de 42,41%. La réduction moyenne individuelle du rendement en lait par jour de lactation était d'environ 3,49 l/j pour l’ensemble des troupeaux, mais chez les vaches boiteuses, cette réduction était de 8,2 l/jour. Même à la suite du traitement, la chute de la lactation reste assez conséquente, et était de 1,1 L, sachant que chez les vaches boiteuses, la chute était de 5,68 L / jour. Après l'épisode de boiterie, le retard de retour en chaleur a été observé, surtout chez les génisses après le premier vêlage, où des séquelles sont observées (mauvais indice corporel), même après traitement. L’intervalle entre vêlages estimé, variant de 418 à 465 jours. L’affection la plus fréquente était le panaris (30,64 des boiteries) suivie par le fourchet (25,19 % des cas) et les arthrites (12,90 %) alors que les boiteries chroniques représentaient 17,74 % des cas de boiteries. En conclusion, l’impact des boiteries cliniques sur la production laitière est très significatif, d’ou l'importance de son identification et surtout de son traitement précoce. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.publisher | Université Ibn Khaldoun -Tiaret- | en_US |
dc.subject | Vache laitières ; boiteries cliniques, impact, prévalence ; production laitière ; fertilité. | en_US |
dc.title | Incidence des boiteries sur la production laitière et la fertilité chez les vaches laitières | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
Collection(s) : | Doctorat |
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