Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/3136
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dc.contributor.authorMANKOUR, REDOUANE-
dc.contributor.authorMEDJAHED, ABD EL OUAHAB-
dc.date.accessioned2022-10-30T09:22:52Z-
dc.date.available2022-10-30T09:22:52Z-
dc.date.issued2016-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/3136-
dc.description.abstractA l’issue de cette enquête, nous pouvons retenir plusieurs facteurs de risque de la RP : saison, parité, état orporel, conditions de vêlage… La plupart de ces résultats semblent en concordance avec la bibliographie. L’intérêt que porte l’éleveur à cette pathologie est minime, ce qui explique l’intervention tardive du vétérinaire qui dépasse parfois les délais de 2 à 3 jours, et augmente les risques de métrites et autres complications du la non délivrance. En partie, c’est l’éleveur qui choisit le traitement de cette affection : il exige souvent du vétérinaire une délivrance manuelle du placenta afin d’éliminer les désagréments qu’elle engendre par les odeurs nauséabondes qui se dégagent du délivre putréfié. Cependant, seuls les vétérinaires sont conscients des risques traumatiques et infectieux consécutifs à cette pratique et ont pour rôle de lutter contre d’éventuelles complications post-puerpérales.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité ibn khaldoun-Tiareten_US
dc.subjectplacentation chez la vache, rétention placentaire.en_US
dc.titleLA RETENTION PLACENTAIRE CHEZ LA VACHE LAITIEREen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Doctorat

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