Distribution spatiale et pullulations de Meriones shawii (Duvernoy, 1842) (Mammalia : Rodentia) dans la région de Batna

Abstract

Le Meriones shawii espèce endémique de l’Algérie, est responsable dans la propagation de certaines maladies, détruit des produits agricoles et proie principale d’autres prédateurs est considéré comme un fléau qui doit être éradiqué. Basée sur des investigations par enquêtes menées depuis 2013 jusqu’à 2018, la présente étude, montre que les approches indirectes de pullulations de M.shawii dépend fortement des conditions climatiques tel que les précipitations ainsi que de la température. Cependant la variation des précipitations des deux stations de la région d’étude Batna sont des modules de régression hétérogène même la température sont aptes pour stimuler la pullulation de M.shawii forte c’est en 2018 en revanche la période 2014-2015 qui présente des baisse valeurs de température moyenne annuelle , pluviométrie annuelle moyenne, et avec lui le résultat peut être utilisé comme « Approche pulvio-thermique de validation spatial partielle». En contraire l’approche de localisation des stations d’études vis-à-vis de distribution spatial et pullulation du M. shawii dans la région de Batna pour la période, 2013-2018 , ne reflète aucun impact significatif sur la propagation de distribution spatial des M.shawii , quel que soit les grandeurs de latitude et longitude des soixante et un stations d’études. En effet, selon l’exposition cardinal les fortes distributions sont signalées dans les communes de Sud : M'doukel , Bitam et Barika , que dans les commune de nord : Tazoult , O. Si Slimane et Batna , ceci est amendé par l’appui de cartographie- Télédétection Écogéographique de RMA de M.shawii. La pullulation spatial et la propagation large de M. shawii est clairement visible à travers les six cartes de RMA, de plus l’analyse en composant principale viens confirmer cet effet positif durant les années d’études, ou on note la présence d’un taux élevé du taux d’infestation qui apparait sur les axes nord et sud. Les analyses statistiques ont montré que le taux d’infestation en 2018 peut être utilisé comme un modèle pour mesurer ce phénomène de distribution spatiale et la pullulation de M.shawii, comparable avec ceux des années 2015 et 2017 .