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dc.contributor.authorMOUSSA Mohamed-
dc.date.accessioned2021-11-14T08:27:35Z-
dc.date.available2021-11-14T08:27:35Z-
dc.date.issued2019-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tiaret.dz:8080/jspui/handle/123456789/185-
dc.description.abstractnous sommes intéressés dans notre travail à l’étude de l’autofiction et ce dans le roman algérien d’expression française, à savoir : « Zabor ou les psaumes » de Kamel Daoud. Notre objectif à travers cette analyse est de voir comment le recours à ce genre littéraire pouvait être un prétexte non seulement à l’écriture anti-morale religieuse voire celle de la profanation, mais à l’émergence d’une forme d’écriture nouvelle que nous appellerons « autofiction réaliste » afin de réorienter l’imaginaire collectif de notre société. Ce qui nous intéresserait aussi, c’est de voir comment cette écriture, qui met en avant la transgression comme moteur d’écriture, a conduit à la réinterprétation des mythes fondateurs en mettant en oeuvre un personnage dont les capacités surhumaines l’élevaient au rang mythique.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Ibn Khaldoun -Tiaret-en_US
dc.subjectautofiction, écriture anti-morale religieuse, autofiction réaliste, mythe.en_US
dc.titleRapport a la mort dans Zabor ou les psaumes de Kamel DAOUDen_US
dc.typeThesisen_US
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