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dc.contributor.authorOUNAS Chahrazed-
dc.date.accessioned2021-11-11T08:57:45Z-
dc.date.available2021-11-11T08:57:45Z-
dc.date.issued2020-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tiaret.dz:8080/jspui/handle/123456789/157-
dc.description.abstractLes femmes criminelles ? L`association de ces deux mots choque, car ces êtres fragiles qui donnent la vie, maintiennent, protègent et rassurent, peuvent aussi donner la mort, avec une froideur et une détermination souvent effrayantes. Nous avons évoqué dans notre travail de recherche l`itinéraire psychologique et le parcours humain, souvent terrible de l`une de ces criminelles dans l'eouvre Nulle autre voix de Maïssa Bey, où nous avons mis la lumière sur deux notions essentielles: le passage à l`acte meurtrier qui ne peut se comprendre que dans une triangulation où l`on retrouve un sujet (l`agresseur), une victime (l`agressé) et une situation donnée. Et l`acte d`écrire qui est venu directement après le passage à l`acte criminel, pour réparer et raccommoder ce qui a été brisé et altéré.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Ibn Khaldoun -Tiaret-en_US
dc.subjectFemme, silence, violence, meurtre, prison, écriture, liberté.en_US
dc.titleLa compatibilité entre le crime et l'écrit dans le supplice, dans l'œuvre Nulle autre voix de Maissa BEYen_US
dc.typeThesisen_US
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