Les avortements chez les ovins et leurs répercussions sur nos élevages

Abstract

Dans la présente étude réalisée dans les élevages des petits ruminants dans la région du ouargla, La fréquence des avortements d’origine infectieuse a été de 46.66%, 20 % alimentaire+ infectieuse, 6.66% traumatique et 6.66 médicamenteuse. Chez les femelles âgées, les avortements étaient nettement plus élevés. Selon l’état corporel, 20% des vétérinaires ont trouvé que les brebis ayant avorté ont un état corporel moyen, souvent durant leur dernier tiers de gestation. La saison aussi joue un rôle, les avortements sont plus fréquents au printemps pendant lequel le fourrage devient riche en phyto-oestrogènes. Le contacte ainsi des brebis gestantes avec les autres animaux conduit à des affrontements, ce qui conduit à des avortements d’origine traumatique. Comme solutions, le choix du type alimentaire pendant et avant la gestation peu réduire le pourcentage des avortements, aussi la vaccination du cheptel mâle et femelle. Eviter la contamination par incinération des déchets d’avortement. Après l'avortement, quelle que soit, la cause il est important d'isoler les brebis qui ont avorté ou celles présentant des métrites jusqu’à la vidange de l'utérus.