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dc.contributor.authorDjebbar, Racha-
dc.contributor.authorDerkaoui, Ndjiba-
dc.date.accessioned2023-10-04T08:51:42Z-
dc.date.available2023-10-04T08:51:42Z-
dc.date.issued2023-06-26-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tiaret.dz:80/handle/123456789/13261-
dc.descriptionLungworms are frequent parasites and cause significant economic losses. This study was carried out at the Tiaret slaughterhouse and was intended to assess the frequency of lungworm and the determination of the offending worms species. Frequencies of 16% and 11.2% were recorded for goats and sheep, respectively. Depending on sex, ovine females were more affected (87.5%) than males (12.5%). On the other hand, a prevalence of 64% in males and 36% in females was recorded in goats. Regarding age, the present study showed that young goats (under 3 years old) and older sheep (over 3 years old) were the most infested. Microscopic examination of the pulmonary mucus indicated that the most incriminated species in small ruminants was Muellerius capillaris, followed by Neostrongylus linearis. In conclusion, it can be said that proper management of a farm involves putting prophylaxis plans such as reducing the shellfish population on pastures and using the plot rotation system can help reduce lungworms and parasitism in general.en_US
dc.description.abstractLes strongles respiratoires sont des parasitoses fréquentes et sont à l’origine des pertes économiques notables. Cette étude s’est déroulée au niveau de l’abattoir de Tiaret et avait pour objectifs d'évaluer la fréquence des strongyloses respiratoires et la détermination des espèces de strongles incriminées. On a enregistré des fréquences de 16% et 11.2% chez les caprins et les ovins, respectivement. Selon le sexe, les femelles ovines étaient plus touchées (87.5%) que les mâles (12.5%). D'autre part, on a enregistré chez les caprins une prévalence de 64% chez mâles et de 36% chez les femelles. Concernant l’âge, la présente étude a montré que les jeunes caprins (de moins de 3 ans) et les ovins âgés (de plus de 3 ans) étaient les plus infestés. L’examen microscopique du mucus pulmonaire a permis de dire que l’espèce la plus incriminée chez les petits ruminants a été Muellerius capillaris, suivie par Neostrongylus linearis. Pour conclure, on peut dire que la bonne gestion d'un élevage consiste à mettre des plans de prophylaxies tels que la réduction de la population des mollusques sur les pâturages et l’utilisation du système de rotation de parcelles peuvent aider à réduire les strongyloses respiratoires et le parasitisme en généralen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversité Ibn Khaldounen_US
dc.subjectStrongles respiratoiresen_US
dc.subjectpetits ruminantsen_US
dc.subjectNeostrongylus linearisen_US
dc.subjectMuellerius capillarisen_US
dc.titleEtude des strongles pulmonaires chez les ruminants au niveau de l’abattoir de Tiareten_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Master

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